Windows 2000 (souvent abrégé en "W2k") est le successeur de Windows NT4, c'est donc un système d'exploitation totalement différent de Windows 9X. En particulier, W2k (et ses prédécesseurs NT3.x et NT4) est un système d'exploitation :
W2k , tout comme NT3.x et NT4, exige d'être le "seul maître à bord". Cela veut dire qu'aucune application ne peut opérer sur le PC sans passer par lui. Donc une application (DOS p.ex.) qui tenterait d'accéder au matériel directement (affichage, ports série ou parallèle, disques,...) sera immanquablement refoulée! C'est pourquoi certains jeux ou utilitaires de bas niveau (éditeur de disque DOS par exemple) ne pourront pas tourner. Par contre, en ce qui concerne les jeux et autres applications multimédias, W2k intègre d'origine DirectX 7.
Windows 2000 est commercialisé depuis le 17 février 2000 pour les versions Professionnal, Server et Advanced Server. et depuis le 11 août 2000 pour la version Data Center Server
Avant octobre 1998, Windows 2000 s'appelait "Windows NT5"
Il diffère suivant les versions de Windows 2000
Windows 2000 Professionnal
Windows 2000 Server
Windows 2000 Advanced Server
Windows 2000 Data Center Server
Liens utiles
(liste incomplète!)
Matériel
Logiciel
Windows existe en 4 versions :
Versions |
Prix en US $ |
||||
|
correspondance |
Standard |
Mise à jour depuis : |
||
Windows NT |
Windows NT |
Windows 9x |
|||
Professionnal |
Workstation |
319 |
|
149 |
219 |
Server |
Server |
1199 |
599 |
|
|
Advanced Server |
Server Entreprise |
3999 |
|
|
|
Data Center Server |
|
Vente OEM uniquement |
|
|
|
Les
prix donnés ici sont purement indicatifs, extraits du site Microsoft.
Pour avoir le cours du dollar US : http://www.lesechos.fr/francais/bourse/changes.htm
Voici des tarifs (toujours indicatifs) en France (en FF )
Versions |
Prix en FF (HT) |
|||||
Windows 2000 |
correspondance |
Standard |
Mise à jour depuis : |
|||
Windows NT |
Windows NT |
Windows NT |
Windows 9x |
|||
Professionnel | Workstation | 2130 | 1580 |
? |
||
Server (5 licences clients) |
Server | 7385 | 3690 | |||
Advanced Server (25 licences clients) |
Entreprise Edition | 28380 |
13370 |
Ces prix correspondent à un achat à l'unité. Généralement, des réductions importantes sont consenties lors d'achats en volume (dans les entreprises).
L'interface de Windows 2000 diffère de celle de Windows NT4 sur certains
points. En particulier, le Menu démarrer n'affiche pas, par défaut, la
liste traditionnelles des Outils d'administration.
Pour la rétablir, suivre les étapes suivantes :
...et en profiter pour cocher les cases :
|
Les MMC (Microsoft Management Console) sont de nouveaux outils de
configuration du système, ayant tous la même interface. Windows 2000 est
livré avec un certain nombre de MMC, telle que la Gestion de l'ordinateur, qui
regroupe à peu près tous les outils d'administration.
Il est possible d'en créer d'autres, plus ou moins spécialisées, et
accessibles par certains utilisateurs. Ainsi un administrateur pourra déléguer
à d'autres administrateurs la responsabilité de tâches particulières.
Pour créer une nouvelle MMC, exécuter les étapes suivantes :
Depuis une fenêtre console ou le menu Exécuter, exécuter la commande :
mmc /a Une fenêtre s'ouvre alors : |
|
Sélectionner le menu "Console" / "Ajouter/supprimer un composant logiciel enfichable" Un dialogue s'ouvre : |
|
Appuyer sur le bouton "Ajouter" Un dialogue s'ouvre : Sélectionner dans la liste ce qui peut être intéressant (affaire de goûts et d'habitudes!) Par exemple, au choix : |
|
Appuyer sur le bouton "Ajouter". Un dialogue s'ouvre :
Laisser coché le bouton radio "L'ordinateur local" (par défaut) |
|
On revient au dialogue précédent, qui affiche à présent les composants
sélectionnés.
Appuyer sur le bouton "OK" (sauf si on veut ajouter d'autres composants) On revient au dialogue initial |
|
Dans le menu "Console" /"Enregistrer sous", choisir un
nom de fichier (p.ex. "disk.msc") Cette MMC est alors en mode auteur, c'est à dire modifiable par la
suite (ajout/suppression d'éléments). |
|
Si l'on veut quelque chose de plus "direct" (plus simple et plus
parlant), commencer par renommer "Racine de la console"
(p.ex. "Périphériques et disques").
Pour cela ouvrir le menu contextuel sur ce libellé par un click droit, et sélectionner "Renommer". |
|
Sélectionner le menu principal "Console" / "Options" Un dialogue s'ouvre :
Changer (éventuellement) d'icône De retour dans la fenêtre principale, Menu "Console " /
"Enregistrer" |
|
Quitter la console. Si on l'ouvre à nouveau, on obtiendra ceci :
(On remarquera que la fenêtre "mère" avec le menu "Console
/ fenêtre / ?" a disparu.) |
Un peu à l'identique de Windows 9x, Windows 2000 offre maintenant différents modes de démarrage, que l'on peut choisir en appuyant sur la touche F8. En particulier on a la possibilité de lancer Windows 2000 en mode sans échec, comme sous Windows 9x.(ce qui n'existait pas sous WIndows NT)
A coté de ces modes existe la Console de récupération, qui peut être lancée soit depuis le menu de démarrage (si on l'a installée au préalable) soit depuis le CD de Windows 2000. Voir l'article consacré à ce sujet.
A la différence de Windows NT4, dans lequel il faut intervenir au niveau de la base de registres, le choix du type de verrouillage/déverrouillage des majuscules au clavier est prévu dans le panneau de configuration Clavier :
|
Vu la dynamique d'Internet,
certains liens peuvent ne plus être valides
(en particulier ceux de Microsoft,
dont le site est souvent restructuré)
Me
le signaler, merci, j'essaierai de corriger.
Site Microsoft
Autres sites
C'est une fonctionnalité nouvelle, faisant partie nativement de ce nouveau système d'exploitation. Elle concerne les fichiers et répertoires contenus uniquement dans des partitions de type NTFS5.
On peut ainsi chiffrer, au choix, une partition complète, ou un sous–répertoire et tous ses composants, ou encore un fichier isolé.
Le chiffrement est basé sur l'algorithme RSA (Rivest Shamir Adleman) bien connu, utilisant des clefs 128 bits. Les versions bêtas de Windows 2000 distribuées en France n'étaient qu'en 56 bits, mais depuis l'autorisation récente (janvier 2000) par les USA d'exportation des mécanismes de clefs 128 bits, les versions définitives de Windows 2000 sont prévues en 128 bits.
Le chiffrement des données est spécifique à un utilisateur donné et à lui seul. Cela implique que même un administrateur ne pourra pas accéder à des données chiffrées si ce n'est pas lui qui les a chiffrées!
Il est totalement transparent à l'utilisateur, cela
signifie que mise à part la configuration initiale de chiffrement, il n'y a aucune
opération particulière à faire, l'accès aux données s'effectuant librement,
sans lancement préalable d'application ou utilitaire quelconque, le déchiffrement
étant immédiat et automatique.
Pour chiffrer un fichier, il suffit de le sélectionner dans l'explorateur puis
d'effectuer un click droit afin afficher ses propriétés.
Appuyer sur le bouton Avancés…
Cela provoque l'affichage d'une boite de dialogue :
Cocher la case "Crypter le contenu
pour sécuriser les données"
Appuyer sur OK
On retourne alors sous contrôle de la boite de
dialogue initiale.
Au moment où on appuie sur le bouton OK ou Appliquer,
cela provoque l'affichage d'une autre boite de dialogue :
Si un autre utilisateur (même ayant des droits administrateur
sur la machine) essaie d'ouvrir ce fichier, il obtiendra par exemple ceci :
Sous "Word" :
Sous
"Hex Workshop"
:
Et si l'un
autre utilisateur (administrateur compris) tente de désactiver le
chiffrement en décochant la case correspondante :
il obtient ce message d'erreur :
et l'ouverture du fichier est refusée :
Les outils de Windows NT4 et Windows 2000/XP/2003 diffèrent souvent (noms, localisations, interfaces), si bien qu'un nouvel utilisateur de Windows 2000, habitué à Windows NT4, sera un peu perdu au début.
Le tableau ci-dessous donne une liste de correspondances entre les 2 versions :
Outils | Windows NT4 | Windows 2000/XP/2003 | ||
Emplacement |
Emplacement |
Type d'interface | ||
Configuration matérielle réseau local |
Panneau de configuration Réseau Onglet Cartes |
Panneau de configuration Ajout/Suppression de matériel |
Assistant | |
Configuration logicielle réseau local |
Panneau de configuration Réseau |
Panneau de configuration Connexion réseau et accès à distance Connexion au réseau local Bouton Propriétés |
||
Configuration logicielle accès distant |
1)Poste de travail/Accès distant 2)Accessoires/Accès distant |
Panneau de configuration Connexion réseau et accès à distance Établir une nouvelle connexion |
Assistant | |
Services | Panneau de configuration Services |
Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration 1) Services 2) Gestion de l'ordinateur Item Services et applications/services 3) Services de composants Item Services |
MMC MMC |
|
Comptes utilisateurs | Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestion des utilisateurs |
Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestion de l'ordinateur Item Outils système/utilisateurs ... |
MMC | |
Audit d'événements | Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestion des utilisateurs/Stratégies |
Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Stratégies de sécurité |
MMC | |
Diagnostics | Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Diagnostics Windows NT |
Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestion de l'ordinateur Item Informations système |
MMC | |
Gestionnaire de disques | Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Administrateur de disques |
Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestion de l'ordinateur Item stockage/Gestion des disques |
MMC | |
Événements | Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Observateur d'événements |
Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestion de l'ordinateur Item Observateur d'événements |
MMC | |
Ajout de périphériques | Réseau | Panneau de configuration Réseau/Onglet Cartes |
Panneau de configuration Ajout/Suppression de matériel |
Assistant |
Carte graphique | Panneau de configuration Affichage/paramètres/ Avancés |
|||
Multimédia | Panneau de configuration Multimédia/Périphériques/ Ajouter |
|||
Modem | Panneau de configuration Modems/Ajouter |
|||
Cartes SCSI Contrôleurs IDE |
Panneau de configuration Cartes SCSI |
|||
Cartes PCMCIA | Panneau de configuration Cartes PC |
|||
Bandes magnétiques | Panneau de configuration Périphériques à bande |
|||
Panneau de configuration Alimentation de secours |
Panneau de configuration Options d'alimentation/Onduleur |
|||
Gestion des services de périphériques |
Panneau de configuration Périphériques |
Inexistant | ||
Performances | Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestionnaire de performances |
Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestion de l'ordinateur Item journaux et alertes de performances |
MMC | |
Sauvegarde | Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestionnaire de sauvegardes |
Menu Démarrer/Programmes Outils d'administration Gestion de l'ordinateur Menu Outils/Windows/Outil de sauvegarde |
MMC + Assistant |
|
Disquette de réparation d'urgence | Console Commande RDISK |
Menu Démarrer/Programmes/ accessoires/outils système/ sauvegarde |
Assistant | |
Voisinage réseau | Bureau Icône voisinage réseau |
Bureau Icône Favoris réseau Dossier "Ordinateurs proches du mien" |
Sous Windows 2000, le dossier "Outils d'administration" est également accessible depuis le panneau de configuration
Sous Windows 2000, la disquette de réparation d'urgence (ERD) n'a plus du tout la même structure que sous Windows NT4. En particulier, elle ne contient plus des copies compressées des ruches de la BDR, mais seulement :
La gestion centralisée de l'ordinateur s'effectue normalement depuis la MMC
(Microsoft Management Console) "Gestion de l'ordinateur" (menu
Démarrer / Outils d'administration) (fichier compmgmt.msc)
Son ouverture est particulièrement longue, et souvent on n'a besoin que
d'une partie seulement de cette console (par exemple le gestionnaire de
disques).
Il peut donc être avantageux de lancer uniquement la partie
intéressante, en exécutant le fichier d'extension .msc associé.
Ces fichiers sont les suivants :
Emplacement | Fichier | Rôle |
(1) | certmgr.msc | Certificats |
ciadv.msc | Service d'indexation | |
devmgmt.msc | Gestionnaire de périphériques | |
dfrg.msc | Défragmenteur de disques | |
diskmgmt.msc | Gestion des disques | |
dnsmgmt.msc | Gestionnaire de DNS | |
eventvwr.msc | Observateur d'événements | |
faxserv.msc | Gestion du service de télécopie | |
fsmgmt.msc | Dossiers partagés | |
gpedit.msc | Stratégie de groupe | |
ias.msc | Service d'authentification Internet | |
lusrmgr.msc | Utilisateurs et groupes locaux | |
ntmsmgr.msc | Stockage amovible | |
ntmsoprq.msc | Demandes de l'opérateur de stockage amovible | |
perfmon.msc | Analyseur de performances | |
secpol.msc | Paramètres de sécurité locaux | |
services.msc | Services | |
wmimgmt.msc | Infrastructure de gestion Windows (WMI) | |
(2) | comexp.msc | Service de composants |
(3) | iis.msc | Services Internet |
(4) | msinfo32.msc | Informations système |
(5) | fpmmc.msc | Extensions Serveur FrontPage2000 |
(1) : %SystemRoot%\system32\
(2) : %SystemRoot%\system32\com\
(3) : %SystemRoot%\system32\inetsrv\
(4) : %CommonProgramFiles%\Microsoft Shared\MSInfo\
(5) : %CommonProgramFiles%\Microsoft Shared\Web Server Extensions\40\bin\
Généralement, les variables
d'environnement citées ci-dessus ont les valeurs suivantes :
Variable |
Contenu habituel |
%SystemRoot% | \winnt |
%CommonProgramFiles% | \Program Files\Fichiers communs |
La MMC "msinfo32.msc" est analogue à l'outil "msinfo32.exe" de Windows 98. Elle peut également être lancée à l'aide de l'outil winmsd.exe, existant également sous NT4.
La mise en veille prolongée (ou hibernation) est une fonctionnalité
très pratique apparue avec Windows 2000.
Elle consiste, au moment de l'arrêt de Windows, à recopier sur disque
dans un fichier (hiberfil.sys) une image complète de la mémoire, si
bien qu'au redémarrage suivant, ce fichier est lu pour être restauré
immédiatement en
mémoire. On retrouve alors Windows dans le même état au moment de l'arrêt,
et cela dans un temps très court par rapport à un démarrage
normal (environ 30 secondes, tout dépend essentiellement de la quantité de RAM
installée et des performances du disque).
Les ordinateurs portables sont évidemment très concernés par cette fonction.
Mais pour qu'elle puisse être mise en oeuvre, il faut que le matériel réponde à certaines spécifications :
Si l'une de ces conditions n'est pas remplie, la possibilité de mise en veille prolongée sera inexistante.
Les niveaux ACPI de mise en veille
Les différents états de veille d'un ordinateur conforme aux spécifications ACPI sont au nombre de 6 :
Niveau Description État de l'alimentation S0 Fonctionnement normal de l'ordinateur. pleine puissance S1 État de veille de bas niveau. Aucun contexte de système n'est perdu (CPU ou chip set) et le matériel maintient tout le contexte système.
Dans certains BIOS (AMIBIOS), cet état est appelé également POS.puissance réduite S2 État de veille de bas niveau. Cet état est semblable à S1 sauf que le contexte CPU et mémoire cache est perdu. C'est au système d'exploitation que revient le rôle de sauvegarder mémoire cache et le contexte CPU). L'ordinateur redémarre sur une action de la souris, du modem, de la carte réseau (si elle est du type "Wake up LAN") ou encore du bouton de marche. puissance réduite S3 État de veille de niveau intermédiaire. Tout le contexte système est perdu excepté la mémoire système. CPU, mémoire cache, et contexte chip set sont perdus. C'est au matériel que revient le rôle de sauvegarder ces contextes, dont L2 (mémoire cache de second niveau du processeur). L'ordinateur redémarre de la même façon que dans l'état S2.
Dans certains BIOS (AMIBIOS), cet état est appelé également STR.puissance réduite S4 État de veille de haut niveau. Tous les périphériques sont mis hors tension. Le contexte de la plate-forme est sauvegardé intégralement en mémoire non volatile (disque dur).
C'est à ce niveau que correspond la mise en veille prolongée.arrêtée S5 identique à S4, sauf qu'aucun contexte n'est sauvegardé (arrêt normal). Un redémarrage complet est nécessaire. arrêtée
Configuration
Elle s'effectue depuis le panneau de configuration depuis 2 endroits
possibles ::
- Affichage, onglet Ecran de veille, bouton Gestion de
l'alimentation
- Options d'alimentation
Cela affiche une boite de dialogue à onglets, dont "Mise en veille
prolongée" (MEVP):
Problème de disparition de la MEVP
Il m'est arrivé que soudainement cet onglet disparaisse, et par voie
de conséquence la mise en veille prolongée n'est plus possible. A l'aide de
l'outil Microsoft "dumppo.exe",
j'ai pu constater que mon problème était du à la présence d'un driver, en l'occurrence
hardlock.sys, qui sert à gérer un dongle sur le port parallèle.
Ce driver avait été installé conjointement avec un logiciel protégé conter
la copie (Encyclopaedia
Universalis), et apparemment, il n'a pas été prévu compatible avec l'ACPI.
Sa présence a été signalée par dumppo comme incompatible avec la MEVP.
Après avoir supprimé manuellement ce driver (avec l'assistant
d'ajout/suppression de périphérique), l'onglet de MEVP est réapparu normalement.
Dumppo est un exécutable Windows 32 bits en mode console qui affiche
un certain nombres d'informations, dont les différents niveaux d'états de
veille supportés.
Il doit être
lancé depuis une fenêtre de commande, et non pas directement, sinon la
fenêtre qu'il génère serait refermée aussitôt. Il admet un ou plusieurs paramètres :
paramètre |
fonction affichée |
cap | power capabilities |
ps | Win32 System power status |
bs | battery status |
admin | Admin policy overrides |
ac | AC power policy |
dc | DC power policy |
power capabilities System power capabilities |
AVANT suppression du driver | APRES suppression du driver |
Power Button Present....: Sleep Button Present....: Lid Present.............: |
TRUE TRUE TRUE |
TRUE TRUE TRUE |
System states supported.: Hiber file reserved.....: |
S5 FALSE |
S1 S3 S4 S5 TRUE |
Thermal control.........: CPU Throttle control....: Processor min throttle..: Processor trottle scale.: Some disk will spindown.: System batteries present: System batteries scale..: Ac on line wake ability.: Lid wake ability........: RTC wake ability........: Min device wake.........: Default low latency wake: |
TRUE TRUE 3 8 (12%) TRUE TRUE (G:0 C:0) (G:0 C:0) (G:0 C:0) Unspecified Unspecified S4 - hibernate Unspecified Unspecified |
TRUE TRUE 3 8 (12%) TRUE TRUE (G:0 C:0) (G:0 C:0) (G:0 C:0) Unspecified Unspecified S4 - hibernate Unspecified Unspecified |
LEGACY DRIVER DETECTED Hardlock |
On voit que la présence du driver "hardlock" n'autorise que
l'état S5 (machine arrêtée!).
Sa suppression a rétabli les niveaux S1
à S4
Cliquez ici pour télécharger dumppo.exe (14ko)
Disponible également sur le serveur FTP de Microsoft :
ftp://ftp.microsoft.com/products/oemtest/v1.1/wostest/tools/acpi/dumppo.exe
Pour plus d'informations
sur le fonctionnement de l'ACPI, consulter le document :
http://www.microsoft.com/hwdev/desinit/acpifaq2.HTM
Cette section, qui explique comment on peut créer un CD bootable de Windows 2000, avec en plus intégration (éventuelle) d'un Service Pack, fait l'objet d'un document complet séparé (vu son ampleur).
La console de récupération est un type de démarrage de Windows 2000 en mode texte uniquement (l'interface graphique n'est pas chargée), à utiliser dans le cas de problèmes graves (fichiers corrompus ou manquants, ...).
Elle n'est accessible qu'au compte Administrateur de la machine!
Elle ne doit pas être confondue avec le Mode sans échec en mode console, dans lequel l'interface graphique de Windows est néanmoins chargée (avec présence d'une fenêtre de commande, sans lancement de l'explorateur)
Par défaut, ce mode n'est pas installé. Pour procéder à son installation, il faut disposer du CDROM de Windows 2000, et taper la commande suivante ("X:" représentant la lettre du CDROM) :
X:\i386\winnt32.exe /cmdcons
Cela provoque l'affichage d'une boite de dialogue :
Appuyer sur OUI
L'assistant d'installation de Windows 2000 est alors lancé, et des copies de
fichiers sont effectuées :
Quand les copies sont terminées, un message s'affiche :
Le fichier CMLDR a été copié dans la racine de la partition de
démarrage,
ainsi qu'un répertoire CMDCONS, et le fichier BOOT.INI
a été modifié,
par ajout de la ligne suivante :
C:\CMDCONS\BOOTSECT.DAT="Console de récupération Microsoft Windows 2000" /cmdcons
BOOTSECT.DAT est une image de secteur de boot NT, mais qui, à la différence du secteur de boot traditionnel, charge le programme CMLDR au lieu de NTLDR.
Le répertoire CMDCONS contient plus de cent fichiers (drivers compressés, exécutables, bibliothèques,...), ainsi qu'un sous-répertoire SYSTEM32 lequel contient 2 fichiers.
Au redémarrage suivant, un nouvel item "Console de récupération Microsoft Windows
2000"apparaît dans le menu. Si on le choisit, tout se passe (au
départ) comme pour une installation de Windows.
Au bout de quelques minutes (être patient!), et après défilement de points de
progression, apparaît le texte suivant :
Console de récupération Microsoft Windows 2000(TM)
La console de récupération fournit une réparation du système et des fonctionnali
tés de récupération.Entrez 'exit" pour quitter l'invite de commandes et redémarrer le système.
1: E:\WINNT
Sur quelle installation de Windows 2000 voulez-vous ouvrir une session
(Appuyer sur ENTREE pour annuler) ? 1
Entrez le mot de passe Administrateur : ******
E:\WINNT>
Pour avoir la liste des commandes disponibles, taper HELP :
E:\WINNT>HELP ATTRIB
CD
CHDIR
CHKDSK
CLS
COPY
DEL
DELETE
DIRDISABLE
DISKPART
ENABLE
EXIT
EXPAND
FIXBOOT
FIXMBR
FORMAT
HELP
LISTSVC
LOGONMAP
MD
MKDIR
MORE
RD
REN
RENAME
RMDIR
SYSTEMROOT
TYPE
Et pour avoir de l'aide sur une commande particulière, taper :
HELP commande ou commande /?
A cette liste il faut ajouter la commande BATCH
Commande | Syntaxe | Commentaires - Remarques | ||||||||||||||||||||
ATTRIB | ATTRIB commutateurs fichiers | Les commutateurs disponibles sont : -R +R -S +S -H +H
Au moins un attribut doit être fixé ou enlevé. Pour afficher les attributs, utiliser la commande DIR. |
||||||||||||||||||||
BATCH | BATCH fichier-entrée [fichier-sortie] |
Le fichier entrée est un fichier texte (peu importe
son extension) contenant une liste de commandes supportées par la console de
récupération (analogue à un fichier batch sous Windows, mais plus restreint
au niveau commandes) Le fichier sortie (facultatif) reçoit les résultats éventuels affichés par chaque commande. Si ce fichier n'est pas indiqué, les résultats sont affichés à l'écran. |
||||||||||||||||||||
CD ou CHDIR |
CD chemin | CD disque: affiche le répertoire courant de
l'unité "disque" CD sans paramètre affiche le disque et le répertoire courant. Si un chemin contient des espaces, il faut l'encadrer par des guillemets : P.ex. : CD "\Program files\Internet Explorer" Cette commande ne s'applique qu'à des unités locales. Par défaut (commande SET non activée), les SEULS dossiers accessibles sont :
|
||||||||||||||||||||
CHKDSK | CHKDSK disque [/P] [/R] | Vérifie et, si nécessaire, répare une unité disque. /P force la vérification même si le disque est déclaré sain. /R localise les secteurs défectueux (/P obligatoire) Cette commande nécessite la présence du fichier autochk.exe (situé normalement dans la racine de la partition de démarrage) |
||||||||||||||||||||
CLS | CLS | Efface l'écran | ||||||||||||||||||||
COPY | COPY source destination | Les caractères génériques ( * et ?) ne sont pas autorisés, ni la copie de répertoire. Un fichier compressé provenant du CDROM de Windows 2000 est automatiquement décompressé. | ||||||||||||||||||||
DEL ou DELETE |
DEL disque: chemin | Les caractères génériques ( * et ?) ne sont pas
autorisés, Cette commande ne s'applique qu'à des unités locales. |
||||||||||||||||||||
DIR | DIR disque: chemin | Cette commande affiche TOUS les fichiers et répertoires, y
compris systèmes et cachés. Les attributs possibles sont :
Cette commande ne s'applique qu'à des unités locales. |
||||||||||||||||||||
DISABLE | DISABLE nom_service | Désactive un service ou pilote La commande LISTSVC affiche tous les services ou pilotes disponibles. DISABLE affiche l'ancien type de démarrage (à noter) du service avant de le désactiver. Les valeurs de ce type sont les suivantes : SERVICE_DISABLED |
||||||||||||||||||||
DISKPART
|
DISKPART [/add] [/delete] nom_physisque nom_disque nom_partition taille | Gère les partitions des disques. /add: Crée une nouvelle partition. /delete: Supprime une partition existante. nom_physique: Nom de l'unité. Ce nom peut ^ter obtenu à l'aide de la commande MAP. P.ex.: \Device\HardDisk0 nom_disque: lettre identifiant la partition. P.ex. : D: nom_partition: nom de la partition, qui peut être utilisé à la place de nom_disque. P.ex. : \Device\HardDisk0\Partition1 taille: taille de la partition en mégaoctets. Si aucun argument n'est passé, une interface utilisateur apparaît. Ne pas utiliser cette commande avec des volumes dynamiques. |
||||||||||||||||||||
ENABLE | ENABLE nom_service type_démarrage | Active un service ou pilote La commande LISTSVC affiche tous les services ou pilotes disponibles. ENABLE affiche l'ancien type de démarrage (à noter) du service avant de l'activer. Les valeurs de ce type sont les suivantes : SERVICE_DISABLED Si on ne précise pas de type de démarrage, ENABLE affiche l'ancien type. |
||||||||||||||||||||
EXIT | EXIT | Quitte la console et redémarre l'ordinateur. | ||||||||||||||||||||
EXTRACT | EXTRACT source destination | Extrait un fichier depuis le fichier "driver.cab"
du CDROM de Windows 2000 source: le nom du fichier à extraire. destination: le répertoire ou nom de fichier du nouveau fichier. S'il n'est pas spécifié, la copie a lieu dans le répertoire courant. Cette commande ne fonctionne que si Windows 2000 a été installé depuis le CDROM. |
||||||||||||||||||||
FIXBOOT | FIXBOOT nom_disque: | Réécrit le secteur de boot
Windows 2000 de la partition.
(identique à la procédure de réparation d'urgence) nom_disque: lettre identifiant le disque. Cette commande n'est supportée que sur plate-forme x86. |
||||||||||||||||||||
FIXMBR | FIXMBR nom_physique | Répare le MBR (master boot record)
d'un disque physique. Utile dans le cas d'infection par un virus, ou pour
supprimer un boot-manager (LILO, System Commander,..) nom_physique: Ce nom (optionnel) peut être obtenu à l'aide de la commande MAP. S'il n'est pas précisé, le disque de démarrage est pris en compte. P.ex.: FIXMBR \device\harddisk2 Cette commande n'est supportée que sur plate-forme x86. |
||||||||||||||||||||
FORMAT
|
FORMAT disque:/Q/FS:file-system | disque:: Lettre du
disque à formater. /Q: Effectue un formatage rapide. /FS:file-system: Spécifie le type de système de fichiers : FAT, FAT32, ou NTFS. |
||||||||||||||||||||
LISTSVC | LISTSVC | Affiche la liste de tous
les services et pilotes disponibles, ainsi que leur état de
démarrage. Ces informations sont tirées de la ruche %systemroot%\System32\config\SYSTEM. |
||||||||||||||||||||
LOGON | LOGON | Affiche la liste de toutes les installations détectées de Windows 2000 et Windows NT, et demande ensuite le mot de passe administrateur. (3 essais au maximum) | ||||||||||||||||||||
MAP | MAP [arc] | Affiche la liste des
lettres des partitions, leurs systèmes de fichiers, leurs tailles et
leurs correspondances avec les disques physiques.
arc: ce paramètre affiche les chemins en syntaxe ARC. |
||||||||||||||||||||
MD ou MKDIR |
MD répertoire | Les caractères génériques ( * et ?) ne sont pas
autorisés. Cette commande ne s'applique qu'à des unités locales. |
||||||||||||||||||||
MORE | MORE fichier | Affiche un fichier texte à l'écran (avec pause éventuelle). | ||||||||||||||||||||
RD ou RMDIR |
RD répertoire | Les caractères génériques ( * et ?) ne sont pas
autorisés. Cette commande ne s'applique qu'à des unités locales. |
||||||||||||||||||||
REN ou RENAME |
REN fichier nouveau_nom | Les caractères génériques ( * et ?) ne sont pas
autorisés. On ne peut pas changer de disque. Cette commande ne s'applique qu'à des unités locales. |
||||||||||||||||||||
SET | SET variable=valeur | Affiche (ou modifie) 4
options d'environnement :
Remarque très importante
C'est stocké dans la clef : |
||||||||||||||||||||
SYSTEMROOT | SYSTEMROOT | Définit le répertoire %SystemRoot% comme répertoire par défaut. | ||||||||||||||||||||
TYPE | TYPE fichier | Affiche un fichier texte à l'écran. |
Une version "light" de Diskeeper est installée par défaut
sous Windows 2000.
C'est un outil de défragmentation des disques (partitions FAT et NTFS).
Or on peut être amené à le désinstaller, pour différentes raisons
Mais cet outil étant considéré comme important par Windows, si on
supprime les fichiers qui le compose (ils sont situés dans le répertoire \winnt\system32),
ils réapparaissent aussitôt.
La seule façon de désinstaller Diskeeper complètement (fichiers et clefs de
la Base de registres) est la suivante :
(publiée sur le site allemand de Microsoft : http://www.microsoft.Com/intlKB/germany/support/kb/d43/d43422.htm)
Au cours de la procédure, Windows va s'apercevoir malgré tout de la suppression des fichiers, et afficher le message suivant :
- Dans les clefs suivantes :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Setup\
Sauvegarder les entrées :HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion
- SourcePath
- ServicePackSourcePath
Sauvegarder l'entrée :
- SourcePath"
- Supprimer les fichiers suivants
dans \winnt\system32\dllcache :
- dfrgfat.exe
- dfrgntfs.exe
- dfrgsnap.dll
- dfrgres.dll
- dfrgui.dll
- Répéter l'opération (mêmes fichiers)
dans \winnt\system32
Vu le système de protection /récupération automatique des fichiers vitaux, il faut absolument commencer par "dllcache"
- Répéter l'opération (mêmes fichiers sauf "dfrgres.dll" et "dfrgui.dll")
dans \winnt\ServicepackFiles\i386
cela a été oublié sur le site allemand de Microsoft !!!
Ce n'est évidemment valable que si on a installé un service pack (le SP1 pour l'instant).
En effet, les fichiers des SP sont eux aussi "protégés", ce qui est particulièrement pratique en temps normal :
si on installe un logiciel qui installe des "vieux" fichiers DLL ou EXE, ce n'est plus nécessaire de
réappliquer le Service Pack!
- Supprimer les clefs :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Explorer\MyComputer\DefragPath
(c'est cette clef qui contient le nom du défragmenteur par défaut lancé depuis l'explorer on clique sur "propriétés" d'un disque, onglet "Outils", bouton "Défragmenter maintenant")
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Dfrg
(elle ne sert à rien si on utilise un autre défragmenteur)
- Dans la clef :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\MMC\NodeTypes\{476e644a-aaff-11d0-b944-00c04fd8d5b0}\Extensions\ContextMenu
supprimer l'entrée :
{43668E21-2636-11D1-A1CE-0080C88593A5}
- Dans la clef :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\MMC\NodeTypes\{476e644a-aaff-11d0-b944-00c04fd8d5b0}\Extensions\NameSpace
supprimer l'entrée :
{43668E21-2636-11D1-A1CE-0080C88593A5}
- Supprimer les clefs :
HKEY_CLASSES_ROOT\CLSID\{80EE4901-33A8-11d1-A213-0080C88593A5}
HKEY_CLASSES_ROOT\CLSID\{80EE4902-33A8-11d1-A213-0080C88593A5}
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\MMC\SnapIns\{43668E21-2636-11D1-A1CE-0080C88593A5}
- Dans les clefs suivantes :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Setup\
Restaurer les entrées :HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion
- SourcePath
- ServicePackSourcePath
Restaurer l'entrée :
- SourcePath
Appuyer sur Annuler
Windows insiste (!) :
Appuyer sur Oui
Mais certains risquent d'être rebutés par cette procédure!
C'est pourquoi j'ai mis au point le script VBS suivant qui fait tout le travail!Ce script est téléchargeable ici : uninstdkp.vbs
Autres outils de défragmentation (liste non exhaustive)
- OO-Defrag
http://www.oo-software.com/fr/products/oodefragv4/index.html
C'est un produit "made in Germany", que j'utilise depuis longtemps, déja sous NT4.
Ses caractéristiques principales :
- existe en français
- possède une interface très ergonomique
- est doté d'un planificateur très pratique
- reconnaît sous NT4 les FAT32 (à condition d'avoir l'outil FAT32.SYS de chez Winternals)
- défragmente (au démarrage de NT/W2k) les fichiers de swap
- coûte 49 € en version Station de travail et 249 € en version Serveur
- très efficace et rapide (quand on le lance régulièrement).
- Contig
Conçu par Sysinternals.
Il est GRATUIT, très léger, un peu limité, mais fiable comme tous les produits émanant de Mark Russinovich (NTFSDOS, RegMon, FAT32.SYS, ERDCommander, ...)
http://www.sysinternals.com/ntw2k/freeware/contig.shtml
Lors de l'installation d'un Service Pack, il est demandé si l'on veut créer des
fichiers de sauvegarde en vue d'une désinstallation ultérieure du Service Pack
:
ATTENTION! cette option
est très exigeante en espace disque, et on risque de voir apparaître ce
message d'erreur :
Donc prévoir suffisamment d'espace sur le disque contenant le système
(celui de %systemroot%)
(il n'est pas possible d'indiquer un autre disque pour ces fichiers)
Il est possible de faire communiquer en liaison Infrarouge un Palm Pilot avec un PC sous Windows 2000 (pour des synchronisations Hotsync - à partir de la version 3.0)
Un petit piège : Quand on démarre la
hotsync (depuis l'écran du Palm, puisqu'on n'est plus sur socle), cela ne provoque pas automatiquement sur le PC
l'ouverture de la boite de dialogue de progression. Mais il suffit de cliquer
sur l'icône de Hotsync (située dans le "systray") pour l'ouvrir.
Les seules choses à vérifier/paramétrer sont :
Dans le panneau de configuration "Liaison sans fil"
/ onglet "Transfert d'image" La case "Utiliser la liaison sans fil pour transférer..." doit être décochée
|
|
Depuis le menu "Configuration" de Hotsync, onglet
"Local" Sélectionner le bon port COM Par exemple sur mon portable il y en a 2 : COM2 pour le modem, COM5 pour l'IR. J'ai choisi COM5 (ce sera peut-être COM3 ou COM4 sur votre PC) |
|
Et la synchronisation pourra alors se dérouler sans problème : |
|
Un certain nombre d'applications refusent de s'installer et/ou de fonctionner si elles détectent un système d'exploitation non prévu pour à l'origine. Par exemple des jeux réclament Windows 95 ou 98 (cas de "Return of Arcade", de chez Microsoft), et ne peuvent s'installer sous Windows 2000. Cela peut être est motivé par des incompatibilités de fonctionnement de bas niveau (par exemple accès direct au matériel), mais parfois il n'y a pas ou peu de justification à de telles restrictions.
Windows 2000 a été livré dès l'origine avec un module
de compatibilité, se présentant sous la forme d'un exécutable (APCOMPAT.EXE)
, situé dans le répertoire \SUPPORT du CDROM de Windows 2000. Mais son fonctionnement était assez aléatoire. |
Avec l'arrivée de Windows XP, successeur commun de Windows 9x et de Windows 2000, Microsoft s'est penché davantage sur ce problème de compatibilité, et a développé une librairie qui permet de généraliser ce mode de compatibilité de façon plus sûre (mais non garanti à 100%) et plus ergonomique. Cela se présente sous la forme d'une DLL (slayerui.dll) qui fait partie du Service Pack 2. Cette dll est installée automatiquement avec le SP2, par contre il faut activer le mode de compatibilité en l'enregistrant.
Après avoir installé le Service Pack 2 (au minimum), dans une fenêtre de commande (sous un compte administrateur), il suffit de taper la commande :
regsvr32 %systemroot%\apppatch\slayerui.dll
S'il n'y a pas d'erreur, un message de confirmation doit s'afficher :
A partir de cet instant, toutes les boites de dialogue de propriétés des raccourcis d'application (quelles qu'elles soient) vont être dotées d'un nouvel onglet Compatibility :
Pour désactiver cette
fonctionnalité :
Dans une fenêtre de commande (sous un compte administrateur), il suffit de
taper la commande :
regsvr32 /u %systemroot%\apppatch\slayerui.dll
Lors du démarrage de Windows 2000 ou Windows XP, avant l'apparition de la boite de dialogue d'ouverture de session, apparaît un message d'erreur "XMNT 2000 PROGRAM NOT FOUND : SKIPPING AUTODESK" (ou équivalent, par exemple "XMNT 2001 PROGRAM NOT FOUND")
Cela est consécutif à l'utilisation de Partition Magic (6 ou au delà) sous Windows 2000/XP, suivie d'un plantage du logiciel.
Je déconseille fortement l'usage
sous Windows d'un outil tel que Partition Magic,
et préconise au contraire son utilisation sous DOS, beaucoup plus
fiable!
- En effet, le partitionnement est une tâche beaucoup trop proche du matériel pour être effectuée dans un environnement multi-tâche et graphique comme Windows.
De plus, sous NT/W2K/XP, en raison du "verrouillage" de certaines ressources (fichier(s) de pagination, dossier "systeme volume information", ruches de la Base de Registres,...), Partition Magic est obligé de différer certaines tâches, programmées lors du redémarrage suivant (avant chargement de l'interface et ouverture de session).- Sous DOS, il n'y a que lui qui tourne (à part quelques programmes résidents tels que clavier ou souris), donc les risques de perturbations extérieures sont quasi nuls.
- Enfin, le fait de travailler sous DOS ne fait rien perdre, ni en fonctionnalités, ni en ergonomie (interface graphique, souris). Et le nombre de redémarrage n'augmente pas.
XMNT200x.exe (x=0,1,..) est l'outil (application 32 bits en mode natif) qui
effectue les travaux de redimensionnement, repartitionnement, ... lors du démarrage
de Windows 2000/XP , dans la phase précédent l'ouverture de session (lorsque
NT/W2k vérifie les disques par exemple).
Son lancement est "programmé" dans la clef de la Base De Registres
:
HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Control\Session
Manager
entrée "BootExecute" et de type REG_MULTI_SZ
Elle contient (comme son type l'indique) plusieurs chaînes, représentant tous
les programmes à lancer au démarrage, avant que l'interface ne soit lancée.
P.ex. (sur un de mes PC) :
autocheck autochk *
DfsInit
OONTStart
...
Il suffit de supprimer XMNT2000 (ou XMNT2001) de cette liste
(suivi, éventuellement d"une suite de commutateurs tels que "/bat=xxxxxxx... /dbg=xxxxxx....
/ver=..... /prd=PartitionMagic")
Vu que "BootExecute"
est une multi-chaîne, REGEDIT est inutilisable, à moins d'aimer
l'hexadécimal!
Il faut donc utiliser REGEDT32, qui sait parfaitement afficher et éditer
les REG_MULTI_SZ :
Effectuer ensuite un double clic sur l'entrée "BootExecute",
ce qui affiche une boite de dialogue:
Sélectionner la chaîne à supprimer (ici XMNT2000) et l'effacer, puis
appuyer sur OK
REGEDIT et REGEDT32 ont été fusionnés dans le même
outil. Si on lance REGEDT32, c'est REGEDIT qui est exécuté.
Il est donc capable à présent d'éditer des entrées de type REG_MULTI_SZ.
Effectuer ensuite un double clic sur l'entrée "BootExecute",
ce qui affiche une boite de dialogue:
Sélectionner la chaîne à supprimer (ici XMNT2001) + les commutateurs
éventuels qui suivent ("/bat=....) et l'effacer, puis
appuyer sur OK
DMA (Direct Memory Access) désigne un mode de transmission de
données directement de la mémoire vers un périphérique et
inversement, sans passer par le processeur. Cela concerne essentiellement les
disques durs, ainsi que les lecteurs de CDROM et DVD (périphériques
IDE/ATAPI).
les périphériques SCSI ne sont
pas concernés
Dans le cas de lecteur de DVD, particulièrement avec des DVD vidéo,
ce mode est indispensable si on veut un débit de l'image suffisamment
fluide.
Or souvent ce mode n'est pas activé par défaut sous Windows 2000.
Pour activer le mode DMA d'un périphérique IDE/ATAPI,
procéder ainsi :
Ouvrir le panneau de configuration Système un moyen rapide de l'ouvrir consiste à effectuer un clic droit sur l'icône du Poste de Travail, et sélectionner l'item "Propriétés" Sélectionner l'onglet "Matériel" Appuyer sur le bouton "Gestionnaire de périphériques" |
|
Sélectionner l'item "Contrôleurs ATA/ATAPI IDE", puis l'un des items "Canal principal" ou "Canal secondaire" suivant l'emplacement de connexion du lecteur de DVD Effectuer un double-clic sur cet item |
|
Sélectionner l'onglet "Paramètres
avancés" Suivant l'emplacement de connexion du lecteur de DVD, sélectionner le champ "Mode de transfert" du Périphérique 0 ou 1 Sélectionner dans la liste déroulante "DMA si disponible" |
Dans le cas où Windows 2000 est le seul système installé, ou si l'on ne veut lancer que lui, on peut supprimer la phase initiale d'affichage du menu de démarrage, et procéder ainsi directement à son lancement.
Pour cela, il existe deux méthodes :
Sélectionner l'onglet "Avancé"
Appuyer sur le bouton |
|
Si ce n'est pas déjà le cas, sélectionner Windows 2000 comme système par défaut Décocher la case |
Une des grandes innovations de Windows 2000 est la configuration dynamique
du réseau, sans avoir besoin de redémarrer la machine, comme
c'était le cas avec NT4 (ou Windows 9x)
De plus, il est mis à disposition un outil remarquable de possibilités : NETSH
("NetShell", ou "Network Shell")
NETSH est un outil en mode ligne de commande (dans une fenêtre
console). Il peut être utilisé :
Cette commande agit dans différents contextes, qui constituent des
sous-ensembles de configuration. De même, chaque contexte peut comporter
des sous-contextes, et ainsi de suite. Un contexte est désigné par une chaîne
alphabétique spécifique.
Pour opérer dans un contexte donné (et sous-contextes éventuels), il
suffit d'indiquer successivement les noms de contextes à la suite de la
commande NETSH, ou à chaque invite de commande si on opère en mode
interactif :
Mode direct Mode interactif D:\>netsh interface ip show address D:\>netsh
netsh>interface
interface>ip
interface ip>show address
A tout moment il est possible d'obtenir de l'aide sur les commandes et contextes disponibles en tapant la commande ? (ou help)
D:\>netsh
netsh>interface
interface>?
Les commandes suivantes sont disponibles :
Commandes globales :
.. - Monte d'un niveau de contexte.
aaaa - Modifications pour le contexte `aaaa'.
abort - Rejète les changements effectués en mode déconnecté.
add - Ajoute une entrée de configuration à une liste d'entrées.
alias - Ajoute un alias.
bye - Quitte le programme.
commit - Valide les changements effectués en mode déconnecté.
...
En mode interactif, pour revenir au contexte de niveau inférieur, il suffit de taper la commande ..
D:\>netsh
netsh>interface
interface>IP
interface ip>..
interface>
En mode interactif, pour quitter l'outil NETSH, il suffit de taper la commande bye ou quit ou exit
Les principaux contextes de 1er niveau sont :
dhcp Modifications pour le contexte de configuration IP dynamique. interface Modifications pour le contexte interface (les différentes cartes réseau disponibles). ras Modifications pour le contexte d'accès distant. routing Modifications pour le contexte de routage. wins Modifications pour le contexte de résolution de noms NetBIOS.
La commande initiale NETSH (en mode interactif ou direct) admet différents paramètres (facultatifs) :
-a Fichier alias Permet l'utilisation d'un fichier d'alias, qui contient une liste de commandes NETSH désignées par l'utilisateur sous des noms arbitraires (en quelque sorte des raccourcis).
Exemple :
le fichier d:\mesalias.txt contient ceci :
alias adrIP interface ip show address
alias cartes interface show interface
Si on lance NETSH avec la commande :
NETSH -a d:\mesalias.txt,
on peut alors exécuter les commandes suivantes :
netsh>adrIP
(équivalente à la frappe de " interface ip show address")
netsh>cartes
(équivalente à la frappe de " interface show interface")-c Contexte Permet d'indiquer immédiatement le contexte dans lequel on va travailler.
Exemple :
NETSH -c interface-r Machine distante Permet de configurer une machine distante (par défaut on travaille sur la machine locale)
Exemple :
NETSH -r springfieldCommande | -f Fichier Script Au choix (exclusif), exécution d'une commande tapée à la suite , ou contenue dans un fichier.
Exemple :
le fichier d:\mescommandes.txt contient ceci :
interface ip show address
interface show interface
Si on lance NETSH avec la commande :
NETSH -f d:\mescommandes.txt,
les 2 commandes spécifiées dans le fichier mescommandes.txt seront exécutées.
Vu la quantité de commandes disponibles, il n'est pas possible ici de les citer et décrire toutes. On se limitera seulement à quelques unes, jugées importantes, et illustrées par des exemples.
Fonction Description Exemple Sauvegarde de configurations La commande dump permet d'afficher et éventuellement de sauvegarder l'ensemble des informations d'un contexte donné.
Par défaut, le dump est affiché à l'écran. Il faut donc utiliser une redirection pour l'envoyer dans un fichier.D:\>netsh -c interface ip dump > d:\dumpip.txt
le fichier dumpip.txt contient alors ceci :
# ----------------------------------
# Configuration IP de l'interface
# ----------------------------------
pushd interface ip
# Configuration IP de l'interface pour "LAN"
set address name = "LAN" source = static addr = 192.168.0.49 mask = 255.255.255.0
add address name = "LAN" addr = 192.168.0.9 mask = 255.255.255.0
add address name = "LAN" addr = 10.0.0.3 mask = 255.0.0.0
set address name = "LAN" gateway = 192.168.0.2 gwmetric = 1
set dns name = "LAN" source = static addr = 192.168.0.2
set wins name = "LAN" source = static addr = 192.168.0.49
popd
# Fin de la configuration IP de l'interfaceRestauration de configurations En mode interactif, la commande exec permet de restaurer une configuration sauvegardée au préalable dans un fichier à l'aide de la commande dump.
On peut aussi utiliser ce fichier en mode direct avec le commutateur -fEn mode interactif :
D:\>netsh
netsh>exec d:\dumpip.txtEn mode direct :
D:\>netsh -f d:\dumpip.txtAffichage de la liste des interfaces Dans le contexte interface, la commande show interface affiche la liste des interfaces réseau disponibles.
Cela permet de retrouver les noms symboliques affectés aux cartes Ethernet tels qu'ils apparaissent dans le dossier Connexions réseau et accès à distanceD:\>netsh interface show interface
Exemple :
État admin État Type Nom de l'interface
-----------------------------------------------------
Activé Connecté Boucle de rappel Bouclage
Activé Connecté Boucle de rappel Boucle de rappel
Activé Connecté Interne Interne
Activé Connecté Dédié LANDéfinition d'adresse IP fixe attribuée à une carte Dans le contexte interface ip, la commande set address associée au paramètre static permet de définir :
- l'adresse IP
- le masque de sous-réseau
- la passerelle
- la métrique
netsh interface ip set address <nom_interface> static <adresse_IP> <masque> <adresseIP_passerelle> <métrique>
d:\>netsh interface ip set address LAN static 192.168.0.49 255.255.255.0 192.168.0.2 1 Dans cet exemple, on attribue à l'interface de nom "LAN" (récupérée à l'aide de netsh interface show interface) l'adresse IP 192.168.0.49, avec le masque 255.255.255.0, l'adresse de passerelle 192.168.0.2, et une métrique de 1.
Définition d'adresse de serveur DNS attribuée à une carte Dans le contexte interface ip, la commande set dns permet de définir l'adresse d'un serveur DNS:
netsh interface ip set dns <nom_interface> static <adresse_DNS>
d:\>netsh interface ip set dns LAN static 192.168.0.2
Dans cet exemple, on attribue à l'interface de nom "LAN" (récupérée à l'aide de netsh interface show interface) l'adresse de serveur DNS 192.168.0.2Définition d'adresse de serveur WINS attribuée à une carte Dans le contexte interface ip, la commande set wins permet de définir l'adresse d'un serveur WINS:
netsh interface ip set wins <nom_interface> static <adresse_DNS>
d:\>netsh interface ip set wins LAN static 192.168.0.49
Dans cet exemple, on attribue à l'interface de nom "LAN" (récupérée à l'aide de netsh interface show interface) l'adresse de serveur WINS 192.168.0.49Configuration DHCP attribuée à une carte Dans le contexte interface ip, la commande set address associée au paramètre dhcp permet de définir une configuration DHCP.
netsh interface ip set address <nom_interface> dhcpd:\>netsh interface ip set address LAN dhcp
Dans cet exemple, on attribue à l'interface de nom "LAN" (récupérée à l'aide de netsh interface show interface) une adresse IP donnée par un serveur DHCP.Configuration par DHCP des serveurs DNS et/ou WINS Dans le contexte interface ip, la commande set wins permet de définir l'utilisation de serveurs DNS et/ou WINS dont les adresses seront communiquées par un serveur DHCP :
netsh interface ip set dns <nom_interface> source=dhcp
netsh interface ip set wins <nom_interface> source=dhcpd:\>netsh interface ip set DNS LAN source=dhcp
d:\>netsh interface ip set WINS LAN source=dhcp
Dans cet exemple, on attribue à l'interface de nom "LAN" (récupérée à l'aide de netsh interface show interface) des serveurs DNS et WINS obtenus via DHCP.Ajout d'un paramètre supplémentaire Dans le contexte interface ip, la commande add xxxx permet de définir des adresses IP attribuées à une carte ou de serveurs DNS supplémentaires.
Elle doit suivre une commande set xxxx de la même catégorie (address ou dns)d:\>netsh interface ip set dns LAN source = static 192.168.0.2
d:\>netsh interface ip add dns LAN 192.168.0.49Dans cet exemple, on attribue à l'interface de nom "LAN" 2 serveurs DNS :
le 1er à l'aide de la commande set dns
le 2ème à l'aide de la commande add dns.
Ne pas utiliser le commutateur static avec la commande add, sinon cela génère une erreur!
Exemple de script permettant de choisir entre configuration statique ou dynamique Script Commentaires @echo off set carte="LAN"
définition du nom de l'interface réseau concernée, tel qu'il apparaît dans le dossier "Connexions réseau et accès à distance"
Si on a un doute sur ce nom, ou peut afficher la liste des interfaces par la commande :
netsh interface ip show ipaddress
ce nom doit être encadré par des guillemets.
Souvent, la présence de caractères diacritiques (accents, cédille,...) dans ce nom ("Connexion au réseau local") peut poser des problèmes en raison des différences de codages OEM/ASCII et ANSI entre fenêtres de commandes et éditeurs graphiques (notepad p.ex.).
On aura donc intérêt à renommer l'interface depuis l'explorateur de Windows (p.ex. LAN, Network, Carte3Com, ...)set adrfixe=192.168.0.143
set masque=255.255.255.0
set passerelle=192.168.0.1
set adrDNS1=192.168.0.2
set adrDNS2=192.168.0.49
set adrWINS=192.168.0.49définition des paramètres statiques IP
Dans cet exemple, on a 2 serveurs DNS.SET /P lan=Adressage DHCP (O/N)? :
if %lan%==o goto IPDHCP
if %lan%==O goto IPDHCP
goto IPfixetest de configuration :IPfixe définition d'adresse IP fixe et de DNS netsh interface ip set address %carte% static %adrfixe% %masque% %passerelle% 1
netsh interface ip set dns %carte% static %adrDNS1%
netsh interface ip add dns %carte% %adrDNS2%
netsh interface ip set wins %carte% static %adrWINS%chaque commande doit être sur une seule ligne! goto fin :IPDHCP Définition d'utilisation de DHCP netsh interface ip set address %carte% dhcp
netsh interface ip set dns %carte% dhcp
netsh interface ip set wins %carte% dhcpchaque commande doit être sur une seule ligne! :fin Téléchargement du fichier source de ce script : dhcp-fixe.cmd
Exemple de script permettant de choisir entre deux routeurs (RNIS et ADSL) Script Commentaires @echo off if %1==RNIS goto RNIS
if %1==ADSL goto ADSL
echo Erreur! type de routeur invalide!
goto fintest du paramètre (doit être "RNIS" ou "ADSL") :RNIS
set passerelle=192.168.0.1définition de l'adresse IP du routeur RNIS
(sert aussi de serveur DNS)goto suite: :ADSL
set passerelle=192.168.0.2définition de l'adresse IP du routeur ADSL
(sert aussi de serveur DNS):suite set carte="LAN"
définir le nom de l'interface réseau concernée, tel qu'il apparaît dans le dossier "Connexions réseau et accès à distance"
Si on a un doute sur ce nom, ou peut afficher la liste des interfaces par la commande :
netsh interface ip show ipaddress
ce nom doit être encadré par des guillemets.set adrfixe=192.168.0.149
set masque=255.255.255.0
set adrwins=192.168.0.49définition des paramètres statiques IP netsh interface ip set address %carte% static %adrfixe% %masque% %passerelle% 1 définition de l'adresse IP et de la passerelle
la commande doit être sur une seule ligne!netsh interface ip set dns %carte% static %passerelle% définition du serveur DNS
la commande doit être sur une seule ligne!netsh interface ip set wins %carte% static %adrwins% définition du serveur WINS
la commande doit être sur une seule ligne!:fin Téléchargement du fichier source de ce script : routeurs.cmd
La commande netsh interface ip set address étant assez complexe, et les paramètres devant apparaître dans un ordre précis, on peut s'affranchir de cet ordre en indiquant un nom devant chaque paramètre transmis :
Paramètre Nom nom de la carte name=xxxx adresse IP addr=xxx.xxx.xxx.xxx masque de sous-réseau mask=xxx.xxx.xxx.xxx adresse de passerelle gateway=xxx.xxx.xxx.xxx métrique gwmetric=x type de configuration
(statique ou DHCP)source=static|dhcp netsh interface ip set address %carte% static %adrfixe% %masque% %passerelle% 1
peut être remplacé par :
netsh interface ip set address name=%carte% source=static addr=%adrfixe% mask=%masque% gateway=%passerelle% gwmetric=1
petite astuce : Si on veut que le fichier batch de configuration soit interactif, avec saisie d'une option au clavier, on peut utiliser la possibilité de définition "on-line" de variable d'environnement à l'aide du commutateur "/P".
Exemple :
@echo off
echo Configuration reseau possible :
echo STAT : statique
echo DHCP : dhcp
set /P confnet=Tapez votre choix :
for %%r in (STAT stat) do if %confnet%==%%r goto Stat
for %%r in (DHCP dhcp) do if %confnet%==%%r goto Dhcp
echo Option invalide!
goto fin
:Stat
Echo *** Configuration statique ***
....
goto fin
:Dhcp
Echo *** Configuration DHCP ***
....
:fin
Alors que sous NT4 le routage IP est activable depuis le panneau de configuration réseau (case à cocher), ce n'est pas prévu sous Windows 2000.
Il faut modifier la Base de Registres :
clef HKEY_LOCAL_MACHINE_\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\TcpIp\Parameters
entrée IPEnableRouter de type REG_DWORD
valeur :
0 = routage désactivé
1 = routage activé
Pour information, sous Windows 98/ME, il faut procéder ainsi :
- Ouvrir le panneau de configuration Réseau
- Cliquer sur "Ajouter", puis "Service"
- Cliquer sur "Ajouter"
- Choisir "Disquette fournie", insérer le CD de Windows 98
- Sélectionner le répertoire "\Tools\RIP"
- Sélectionner le fichier "Irip.inf"
- Cliquer sur OK, puis redémarrer Windows.
Si on installe par défaut le logiciel de gravure de CD/DVD NERO sous Windows 2000 ou XP, seuls les membres du groupe Administrateurs ont le droit d'effectuer une gravure.
Cette disposition, souvent gênante pour l'utilisateur, a été prévue au départ par les concepteurs de NERO dans un but de sécurité.
Il est cependant possible de supprimer cette restriction, à l'aide d'un complément disponible sur le site de AHEAD (l'éditeur de NERO)
Il se présente sous la forme d'un exécutable : NeroBurnRightsInstaller.exe (700 ko)
Son exécution affiche successivement les écrans suivants :
Puis une boite de dialogue s'affiche,
indiquant au départ que seuls les administrateurs ont les
droits de gravure.
On peut alors cocher la case :
|
|
Si on choisit le groupe Nero et s'il n'existe pas, il peut être créé par l'outil : | |
On peut vérifier cette création dans la MMC de
gestion des utilisateurs et groupes (LUSRMGR.MSC) On peut alors définir les groupes et/ou utilisateurs membres de ce groupe. |
|
Si on préfère affecter les droits de gravure à un groupe autre
que "Nero", il faut modifier la Base de Registres à l'aide de
REGEDIT . Ouvrir la clef suivante : HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Ahead\Nero BurnRights Créer ensuite une nouvelle entrée de type chaîne (REG_SZ) de nom ModNeroGroupName et de contenu le nom du groupe |
|
Si on ouvre à nouveau le gestionnaire de
droits de Nero (fichier ....\Ahead\NeroBurnRights\NeroBurnRights.exe) on peut constater que l'onglet Burn Rights a été modifié et fait apparaître "Members of the group xxxxxxxx", xxxxxxxx étant le groupe défini précédemment. |
|
Après toute modification des droits, un message s'affiche invitant à redémarrer l'ordinateur
|
il circule sur
Internet un autre outil (contenu dans un fichier
NeroUser.zip
de 25 ko) qui permet l'affichage d'un onglet Sécurité dans les
préférences de Nero. Il consiste en l'installation d'un service (NeroSVC.exe).
La présence de ce service est incompatible avec l'installation de
Nero BurnRights, qui invite à le désinstaller au préalable.
Sous Windows 2000 et au delà, le dossier "Documents and settings" contient :
Ce dossier est créé lors de l'installation de Windows par défaut dans la même partition que le système (celle qui contient le dossier %systemroot%)
Chaque dossier utilisateur contient par défaut les fichiers temporaires
(Internet ou non), les fichiers de données utilisés par Outlook Express, et les
documents propres à l'utilisateur.
Si bien que souvent on est confronté à des problèmes de manque d'espace libre
sur cette partition, utilisée par le système. Par ailleurs, la séparation des
données et du système peut s'avérer souhaitable, afin de gagner en souplesse et
sécurité.
En conséquence, le besoin de déplacement de ce dossier sur une autre partition va fréquemment s'imposer .
Le problème est que cela n'est théoriquement pas possible !
Par exemple, l'article Q236621 de la Base Connaissances du MSDN énonce ceci :
"Documents
and Settings"
is a Windows system folder |
En effet, si on essaie de renommer ou déplacer ce dossier, cela sera refusé par le système en particulier parce que chaque sous-dossier de compte contient un fichier NTUSER.DAT, qui constitue une "ruche" de la Base de Registres (branche HKEY_USERS\<SID utilisateur>)
Or à un instant donné, au moins une de ces ruches est en cours d'utilisation : celle de l'utilisateur ayant ouvert une session. On ne peut donc pas déplacer ce fichier (ou renommer son chemin) et a fortiori le dossier "Documents and settings" lui-même.
Il est possible cependant de procéder à une telle modification.
Deux méthodes sont proposées par Microsoft, suivant que Windows est ou n'est pas encore installé.
(Microsoft préconise cette méthode)
Il faut lancer WINNT.EXE ou WINNT32.EXE (donc depuis DOS ou Windows, et non pas en démarrant sur le CD) en passant le commutateur "/UNATTEND" et en créant un fichier nommé "Unattend.txt" contenant (au moins) ces lignes :
[GuiUNattended]
ProfilesDir = z:\foldernamedans lequel z:\foldername est le chemin prévu pour "Documents and settings"
Il existe là aussi une méthode, mais comme on va le voir, elle est nettement plus complexe :
Il peut
survenir une erreur de copie pour certains comptes bien que
différents du
compte de l'utilisateur actuel (ici le compte NetShowServices,
existant et actif dans le cas d'un serveur). Dans ce cas procéder avec ce(s) compte(s) comme pour le compte de l'utilisateur actuel (étape suivante) |
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Appuyer sur "Copier dans" en indiquant le nouveau dossier. |
En ce qui me concerne, je laisse ce dossier tel qu'il est (donc "Documents
and settings"
reste dans la partition système), mais il ne sert essentiellement que de
conteneurs de raccourcis vers d'autres
dossiers. Par exemple, le dossier "Mes Documents" ne contient que des raccourcis vers "Word", "Excel", "PDF",
"HTML", ..., qui sont des dossiers situés sur d'autres partitions. |
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Par ailleurs, j'ai redéfini la valeur des variables %TEMP% et %TMP% (elles pointent vers une
autre partition) Panneau de configuration Système
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En ce qui concerne Internet Explorer, là
aussi j'ai défini un autre emplacement des fichiers temporaires
Menu Outils/Options Internet
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Et de même pour les fichiers messagerie de
Outlook Express Menu Outils/Options |
Là c'est beaucoup plus simple!
Il suffit de modifier le contenu de la clef suivante :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion
Entrée "ProgramFilesDir" de type REG_SZ
(ne concerne que Windows 2000)
: il est possible qu'à la date de rédaction/mise à jour de cet article - 13/06/03 - ce correctif ne soit pas encore disponible.
Dans ce cas, en attendant sa parution, procéder comme suit :
Récupérer la bibliothèque shell32.dll version 5.0.3502.5436 depuis le SP3
Pour cela, si ce n'est déjà fait, décompresser le fichier W2Ksp3.exe (avec Winzip, Winrar, ...) dans un dossier quelconque, par exemple c:\w2ksp3, dans lequel un sous-dossier i386 va être créé par la décompression.
Exécuter dans une fenêtre de commandes ou le menu démarrer/exécuter la commande suivante :
expand c:\w2ksp3\i386\shell32.dl_ c:\shell32.dll
Comme cette bibliothèque est constamment utilisée par Windows, on ne peut pas la recopier directement.
Il va donc falloir passer par une procédure particulière de remplacement.
Si on ne l'a pas déjà, récupérer l'utilitaire INUSE du Resource Kit.
Il est disponible gratuitement sur le serveur FTP de Microsoft :
ftp://ftp.microsoft.com/ResKit/win2000/inuse.zip (26 ko)
(le décompresser par exemple dans %systemroot%\inuse.exe)
Exécuter dans une fenêtre de commandes ou le menu démarrer/exécuter les 2 commandes suivantes :
inuse c:\shell32.dll %systemroot%\system32\dllcache\shell32.dll
inuse c:\shell32.dll %systemroot%\system32\shell32.dll
Redémarrer l'ordinateur
Cette procédure concerne toutes les versions de Windows 2000 et ultérieures.
Il est possible de réparer une installation de Windows (en raison de l'apparition de dysfonctionnements
du système par exemple) tout en conservant
l'intégralité des paramètres existants (comptes utilisateurs,
personnalisations, logiciels installés).
Il est donc totalement inutile de reformater!
Il suffit d'appliquer les instructions suivantes :
Démarrer le PC depuis le CD de Windows La procédure demande si on veut
- installer Windows.
- réparer ou récupérer Windows.
Répondre "Installer" (touche <Entrée>)
Récupérer (touche R) lancerait la console de récupération (ce n'est pas ce qu'on veut ici).
La procédure d'installation examine alors la machine. Puis un écran (toujours en mode texte) s'affiche en indiquant qu'une précédente installation de Windows a été découverte.
Il est alors demandé si on veut
- réparer Windows
- faire une nouvelle installation
Répondre "Réparer" (touche R)Windows va s'installer comme si c'était une première fois, avec copie préalable de fichiers nécessaires au passage en mode graphique.
La phase en mode graphique est identique à celle d'une première installation. (mêmes écrans, mêmes étapes et progression). en particulier, il faudra obligatoirement ressaisir la clef du produit (5 fois 5 caractères).
MAIS tout ce qui existe sera CONSERVÉ intégralement.
Seuls les fichiers du système seront remplacés.Par exemple tous les comptes utilisateurs précédemment définis sont maintenus.
Toutes les applications installées, les personnalisations de Windows sont intégralement conservées. Dans le cas de XP et au-delà, l'activation de Windows est conservée.
Vu l'importance croissante ce chapitre, un document séparé lui a été consacré.
Les partitions NTFS offrent la possibilité de monter d'autres partitions (de n'importe quel type : FAT16, FAT32, NTFS, CDFS,...), provenant de n'importe quel support (disque dur, lecteur de CDROM, carte mémoire, clef USB, ...). On désigne cette fonctionnalité sous le nom de point de montage.
Cela permet en particulier de s'affranchir de la contrainte des
lettres attribuées habituellement aux partitions.
On ne peut pas avoir plus de 24 partitions désignées par une lettre (C: à Z:)
Avec l'utilisation de disques SATA (qui ne sont pas concernés par la limite de 4
comme pour les disques IDE), de lecteurs de CD multiples, graveurs DVD, lecteurs
de CD virtuels, clefs USB, lecteurs de cartes mémoire multiples ("6 in 1 "), on
peut facilement atteindre cette limitation.
Il suffit alors de "monter" les périphériques de stockage additionnels
dans différents dossiers d'une partition NTFS.
Ce qui suit, basé sur un exemple concret, décrit cette opération.
On a déjà monté 2 cartes
mémoire d'un lecteur multiple (ici "PocketDrive 6 in 1" de chez
Hama) dans deux
dossiers de la partition S: (NTFS) : S:\mnt\Carte CF et S:\mnt\Carte SD On désire à présent connecter une clef USB et la monter dans le même dossier S:\mnt |
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Avant
connexion de la clef, le gestionnaire de disques (DISKMGMT.MSC) affiche
ceci : Les disques numérotés 5 à 8 correspondent à chacun
des lecteurs du PocketDrive Actuellement une seule carte (CF, de 128 Mo) est insérée. |
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Dans l'explorateur, on
crée un nouveau sous-dossier nommé "Clef USB" dans
S:\mnt Pour l'instant, l'icône de ce dossier est celle d'un dossier habituel. |
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On connecte la
clef USB. (clef de 128 Mo)
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On sélectionne le disque 9, clic droit, et on choisit l'item Modifier la lettre de lecteur et le chemin d'accès | |
Une boite de dialogue
s'affiche : Pour l'instant, la liste de lettre ou chemin affectés à ce disque est vide (et pour cause, toutes les lettres étant déjà utilisées!) On appuie sur Ajouter |
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Une autre boite de
dialogue s'affiche, permettant de choisir lettre ou point de montage : Cocher Monter dans ce dossier NTFS et appuyer sur Parcourir |
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Sélectionner le dossier
voulu. (ici S:\mnt\Clef USB) appuyer sur OK |
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Appuyer sur OK | |
L'aspect de l'explorateur
a changé, l'icône du dossier Clef USB est devenue celle
d'un disque et non plus d'un dossier. On peut alors examiner le contenu de la clef USB, effectuer des transferts de fichiers, ... |
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Un clic droit sur le
point de montage permet d'afficher ses propriétés :
On constate que le type est alors Volume monté et l'action sur le bouton Propriétés le fait apparaître comme disque amovible |
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ainsi que dans l'explorateur : |